Titre :
La
gloire de mon père /Auteur : Pagnol Marcel /Edition : De Fallois
Nombres
de pages : 207 /Genre
Littéraires : Autobiographie
Synopsis : Parce que j'ai maintenant des petits-enfants, j'ai souvent
envie de raconter des histoires: c'est la fonction naturelle des grands-pères, et peut-être leur plus grand
mérite.
Le mien me racontait Peau d'Ane, la Belle et
la Bête, Riquet à la Houppe...Pour moi, j'ai préféré vous raconter l'enfance
d'un petit garçon, qui fut aussi celle de vos grands-pères, et qui n'est
peut-être pas très
différente de la vôtre, car les petits garçons de tous les pays du monde et de
tous les temps ont toujours eu les mêmes problèmes, la même malice, les mêmes
amours.
Mon avis:
Un livre vraiment passionnant, qui nous
montre un peu de la vie qu’on connue nos arrières grands-parents. On suit Marcel dans son enfance avec son insouciance et
on apprend la vie telle qu’il nous l’a montré comme si nous pouvions retourner en
enfance.
C’est un premier tome très touchant ou on évoque l’amour d’un père à son fils, ou on apprend les valeurs de la famille. On découvre ici les caractères de chacun et une famille très unis qui vivent une vie simple et plutôt paisible.
J’ai aimé comment Marcel Pagnol nous décrit son enfance ici, sans nous cacher ses ressentis malgré que sa touche un peu sa fierté, il nous donne l’impression de vivre son histoire en même temps qu’il nous l’a raconté et sa c’est juste merveilleux car je trouve que c’était une belle époque.
Il nous parle aussi des valeurs qui sont chère à sa famille mais qui sont aussi des coutumes de cette époque révolue, qui nous permet de nous rendre compte à quel point la vie à changer en peu de temps. Nous avons même deux points de vue sur la chrétienté qui avant était un peu le centre de la vie.
J’ai aussi été touché par certaine phrase dont une tellement bien écrite je trouve, elle se trouve page 22 : « L’âge de mon père, c’était vingt-cinq ans de plus que moi, et ça n’a jamais changé. L’âge d’Augustine, c’était le mien, parce que ma mère, c’était moi, et je pensais, dans mon enfance, que nous étions nés le même jour. »
C’est un premier tome très touchant ou on évoque l’amour d’un père à son fils, ou on apprend les valeurs de la famille. On découvre ici les caractères de chacun et une famille très unis qui vivent une vie simple et plutôt paisible.
J’ai aimé comment Marcel Pagnol nous décrit son enfance ici, sans nous cacher ses ressentis malgré que sa touche un peu sa fierté, il nous donne l’impression de vivre son histoire en même temps qu’il nous l’a raconté et sa c’est juste merveilleux car je trouve que c’était une belle époque.
Il nous parle aussi des valeurs qui sont chère à sa famille mais qui sont aussi des coutumes de cette époque révolue, qui nous permet de nous rendre compte à quel point la vie à changer en peu de temps. Nous avons même deux points de vue sur la chrétienté qui avant était un peu le centre de la vie.
J’ai aussi été touché par certaine phrase dont une tellement bien écrite je trouve, elle se trouve page 22 : « L’âge de mon père, c’était vingt-cinq ans de plus que moi, et ça n’a jamais changé. L’âge d’Augustine, c’était le mien, parce que ma mère, c’était moi, et je pensais, dans mon enfance, que nous étions nés le même jour. »
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